LinkedIn : un nouveau territoire de communication pour les marques

LinkedInLogo

L’agence Publicis Consultants Net Intelligenz vient de publier son livre blanc LinkedIn, nouveau territoire de communication, à l’attention des entreprises souhaitant développer leur marque sur ce réseau et désireuses de soigner leur e-reputation.

Continuer à lire « LinkedIn : un nouveau territoire de communication pour les marques »

F40 : Les enjeux de 2012 avec Facebook

F40

Pour mieux percevoir les prochains défis sur Facebook, Tigerlily organise sa conférence F40 destinée aux grandes entreprises.

Qu’est ce que F40 ? : « Un évènement ayant pour but d’accompagner les décideurs dans leur réflexion sur leurs futures stratégies digitales sur les réseaux sociaux.« 

Au programme :

Appréhender vos enjeux de 2012 avec Facebook
Découvrir les opportunités qui s’offrent aux entreprises, pour renforcer les liens avec le public et s’inscrire dans une logique plus ROiste avec :
– Damien Vincent, Directeur commercial de Facebook France
– Matthieu Chéreau, Directeur de Tigerily et auteur du premier manuel sur le Community Management
– Philip Gaurino, Consultant de L2, le think tank du digital

Echanger autour de cas concrets
Apprendre comment des groupes tels qu’Yves Saint Laurent et Orange tirent parti de Facebook et évoluent avec lui. Avec la participation de :
– Yann Gourvennec, VP Digital d’Orange
– Carla Henny de Préval, International digital marketing director Yves Saint Laurent Beauty & Fragrances
– Yann Motte, VP Digital du Groupe 01
Clément Courvoisier, Digital Activities de PSA Peugeot Citroën


F40, Les enjeux de 2012 avec Facebook par TigerlilyApps

Pour suivre la conférence en direct, rendez-vous sur Dailymotion le 5 octobre à 20h :
http://www.dailymotion.com/TigerlilyApps

Vous pouvez vous inscrire à cette événement sur Facebook.

La réputation des entreprises se joue-t-elle sur les réseaux sociaux ? — Étude TNS/Sofres

A l’occasion du Top Com Corporate organisé du 7 au 9 février 2011, autour du thème de l’e-réputation, TNS Sofres a analysé l’impact des réseaux sociaux sur la réputation des entreprises du CAC 40.

Voici le compte-rendu de Muriel Humbertjean, DGA de TNS Sofres :

Constat général : un profond changement de la relation à l’entreprise

67% des utilisateurs de réseaux sociaux pensent que la toile a profondément changé la manière dont ils s’informent sur les entreprises, et 44 % disent « aimer » utiliser Internet pour tenter de  peser sur le comportement des entreprises.

Par rapport à une précédente enquête TNS – Top Com conduite en 2008, se constate une extension des interpellations à la marque corporate, au-delà des simples dimensions commerciales. 9% des utilisateurs des réseaux sociaux y ont d’ailleurs déjà critiqué un patron ou un dirigeant d’entreprise, et 21 % y ont critiqué des entreprises ayant mal agi à leurs yeux.

Un buzz significatif sur les entreprises du CAC 40

Les grandes entreprises font l’objet d’un buzz important sur Twitter, notamment dans les secteurs de l’automobile, de la grande consommation et des télécommunications.

Sur les 42 entreprises testées, 8 ont dépassé sur le dernier trimestre 2010 une moyenne de 350 Tweets quotidiens : Renault, France Télécom Orange, Carrefour, PSA Peugeot Citroën, L’Oréal, Michelin, Danone, et BNP Paribas.

19 autres entreprises ont suscité entre 100 et 300 tweets quotidiens en moyenne chaque jour.

Les angles sont variés : gestion sociale, offre commerciale, qualité de service, publicité et sponsoring, actualité corporate.

Qu’en reste-t-il dans la mémoire des internautes ? Pour 17 entreprises, le buzz a laissé des traces dans l’esprit de plus de 10 % des internautes français fréquentant les réseaux sociaux, soit plus de 2 millions de personnes. Le quart d’entre eux se souvient même d’y avoir entendu parler de la SNCF ou de France Télécom Orange.

L’effet du buzz sur la confiance dans les entreprises n’est ni linéaire ni automatique

L’indicateur de tonalité est variable selon les entreprises. En moyenne, il est plutôt favorable : 26 % des internautes ont entendu parler des entreprises testées en bien, 20 % en mal et plus de la majorité de façon neutre (52 %).

Pour autant, la tonalité et l’intensité du buzz n’exercent pas une  influence « automatique » et linéaire sur la cote de confiance. Les crises e-réputation nées sur le web restent marginales. Les réseaux sociaux vont plutôt soit amplifier des crises déjà médiatisées,  soit à l’inverse amortir certaines interpellations émanant de minorités actives, soit sédimenter sur la durée l’image d’une entreprise, en lien avec les centres d’intérêt des internautes.

Chaque cas est particulier : Observation des réseaux sociaux et analyse de la réputation « In Real Life » doivent toujours être conduites de pair.

L’étude s’est appuyée sur trois sources :

  • Digital Life™ : la plus large étude jamais conduite sur le citoyen et le consommateur digital. 46 pays couverts par TNS en septembre 2010.
  • L’observation de la twittosphère : recensement par la société Semiocast des tweets échangés sur les entreprises du CAC 40, La Poste, et la SNCF, au cours du 4e trimestre 2010.
  • L’enquête exclusive TNS Sofres – Top Com réalisée en janvier 2011 auprès de 1 145 internautes français de 15 ans et plus : mise en perspective de la cote de confiance des entreprises et  de ce qu’on a lu sur les réseaux sociaux.

Source : TNS/Sofres

Une entreprise n’est pas un bébé #Web10ftv

Lors du LeWeb, au stand de France Télévisions,,j’ai interviewé Charles Nouyrit sur les enseignements d’un échec. Il a partagé avec nous les résultats de l’échec de l’une de ses startup.

Pour rappel, Charles Nouyrit dirige la société MyID.is certified , spécialisée dans la certification d’identité numérique.

Dans cette interview, il partage son expérience et son analyse. Une des leçons que j’ai retenue est de ne jamais considérer son entreprise comme son bébé.