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« J’ai quatre ans et des poussières. Pas des poussières de passé, ces poussières jaunies qui mettent les larmes aux yeux parce qu’elles piquent le coeur. Non ! Des poussières propres et gaies, des poussières de sable et de peluche, des poussières de moutons ramassés sous les meubles-cabanes où il fait bon se cacher… »