Bande annonce du film « Mourir d’aimer » de José Dayan avec Muriel Robin, diffusé le mardi 24 novembre à 20h35 sur France 2.
A la suite d la diffusion mardi 24 novembre prochain à 20h35 sur France 2 du téléfilm inédit « Mourir d’aimer », réalisé par Josée Dayan, avec Muriel Robin, Sandor Funtek et Jeanne Balibar, Christophe Hondelatte propose à partir de 22h05 un débat sur le thème « Prof/eleve : les couples interdits ». Le débat est ouvert avec des avocats, des psychiatres, des représentants du corps enseignant et des témoins d’affaires similaires ; et aussi la diffusion d’un reportage sur l’histoire de Gabrielle Russier.
Diffusion vidéo sponsorisée
Depuis le temps que j’attends la diffusion !!!
Comme ce film est réussi ! Les acteurs sont tous très humains et pudiques. Merci à tous. Que ne peut-on revenir en arrière !
j’ai beaucoup aimer ce film!!
je ne connaissais pas cette histoire!! peut-être un peu trop jeune!!:)
mais ça m’a beaucoup touchée!!
et je me suis forgée une opinion maintenant sur ce que peut être la définition de la liberté!
Et bien, je conseille à Marion de regarder le film d’André Cayate et de se plonger dansl’histoire de Gabrielle Russier. J’ai été choquée, outrée par cet ignoble plagiat d’hier soir!!! Comment pouvait-on imaginer une minute que Muriel Robin « interpréterait » cette remarquable enseignante, fine, à fleur de peau agée au moment des faits de 32 ans. Laissons les passionnés comme moi sur le souvenir impérissable de la
sublime Annie Girardot en 1971 et OUBLIONS tout de suite
la parodie grotesque de Josée Dayan.
Rolande Vidal
La Grand’Combe (30)
Cette version de Mourir d’aimer n’avait rien d’émouvant comme le ,premier avec Girardot. Muriel Robin que j’aime bien en humoriste n’a rien de la professeur fine et délicate dont un ado pourrait tomber amoureux. Elle fait plus chauffeur routier dans sa dégaine et dans sa façon de parler. Aucune élégance. Dans Gazon Maudit à la place de Balsko ca irait mais pas là. On ne peut pas rentrer dans cette histoire comme dans la première, l’ado étant lui tout mince (la main de Robin sur son torse le recouvrait en entier ou presque)trop jeune et Robin trop grosse et trop vieille pour la vraisemblance. Rien d’émouvant et très déçue d’avoir perdu mon temps à regarder ce téléfilm. On pourrait croire vraiment au délit d’influence ou d’autorité plutôt qu’à une histoire romanesque. A ne pas revoir.
Je suis contente de ne pas être la seule à trouver l’interprétation grotesque.
Moi aussi je connais l’histoire et le film de Cayatte. Cette histoire, à l’époque, m’avait bouleversée. De même que le film avec la sublime Annie Girardot.
Dans ce téléfilm de Dayan, Muriel Robin n’est crédible à aucun moment : ni comme prof ni comme amoureuse. Elle m’avait déjà fait peur lors de sa promo : si imbue d’elle-même!
J’ai trouvé que Muriel Robin n’était pas mauvaise mais le couple lui, l’était . Dans film de Cayatte le jeune homme était grand, et surtout viril en apparence. Le contact physique à la clé de leur premier émoi était un toucher de main électrique durant les manifs. Ou est le déclic dans le couple cette fois-ci? Le garçon est trop juvénile pour être crédible et surtout pourquoi le réalisateur et le producteur n’ont pas une seule fois fait changer de robe à Murielle Robin qui commence comme elle finit avec sa robe rouge. J’ai trouvé ce détail grotesque car même au delà des saisons elle porte toujours la même robe. L’unique scène au lit, montrant « Gabrielle » caressant le torse de ce « gamin » n’était pas possible, c’est encore un enfant et il ne se dégageait aucune sensualité et aucune émotion. J’avait vu et revu le film de Cayatte et à chaque fois j’avais ressenti une immense émotion que je n’ai pas éprouvée dans ce remake et pourtant j’aprécie la comédienne Murielle Robin.